Sur le cimetière de bateaux, les coques abandonnées racontent le temps et les voyages achevés. Le bois et le métal, rongés par le sel et le vent, deviennent sculptures naturelles, témoins silencieux des marées et des saisons.
C’est un poème visuel, où la fragilité et la force se mêlent. À travers mes images, j’ai cherché à capturer l’histoire qui persiste dans le silence et la lumière changeante.